La Rochelle : une mère veut relancer l'affaire pour agression sexuelle sur sa fillette

durée de la vidéo : 00h02mn06s
À La Rochelle, une mère de famille veut relancer l'affaire après le classement sans suite de la plainte pour agression sexuelle commise sur sa fillette, alors âgée de 4 ans.
Un animateur rochelais, accusé d’agression sexuelle sur une mineure de 4 ans, a bénéficié du classement sans suite de la plainte qui le visait. La mère de l’enfant a décidé de se porter partie civile pour obtenir une nouvelle enquête. ©Eric Vallet et Marc Millet

Un animateur rochelais, accusé d’agression sexuelle sur une mineure de quatre ans, a bénéficié du classement sans suite de la plainte qui le visait. La mère de l’enfant a décidé de se porter partie civile pour obtenir une nouvelle enquête.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

À La Rochelle, une mère de famille se bat pour obtenir la réouverture de l'enquête pour agression sexuelle sur sa fillette, âgée de quatre ans au moment des faits.

Les faits remontent à 2019 et se sont déroulés dans un centre de loisirs de Puilboreau (Charente-Maritime). Un animateur aurait été surpris en position équivoque dans les toilettes de l’établissement avec l'enfant.

Une première plainte est déposée, aujourd'hui classée sans suite par le procureur de la République. La raison ? L’enfant, qui avait confirmé l’agression devant les policiers, se serait rétractée face à une psychologue. Dans une interview à visage couvert accordée à France 3 Poitou-Charentes (voir vidéo ci-dessus), la mère conteste les conclusions de cet entretien.

Nouvelle procédure en janvier ?

Depuis qu'elle a appris que l’animateur, après avoir quitté le centre, était devenu chauffeur de car scolaire, elle a décidé de se porter partie civile pour obtenir la réouverture de l’enquête.

Dans un courriel, l’avocate de l’animateur précise que son "client a toujours fermement nié ces accusations (et) qu'il n'est actuellement visé par aucune interdiction d'exercer une profession en contact avec des mineurs".

La procédure pourrait redémarrer début janvier avec l’espoir pour la famille qu’elle lève les nombreuses zones d’ombre de ce dossier. 

Reportage et entretien : Eric Vallet et Marc Millet.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information