VIDEO. Portrait de Johanna De La Llave Ferreres, originaire de Breuil-Magné, triple championne du monde de coiffure

durée de la vidéo : 00h02mn13s
Sacrée à trois reprises lors du championnat du monde de coiffure en septembre dernier, Johanna De La Llave Ferreres est la star de Breuil-Magné (Charente-Maritime). Juliette Vincent Seignet et Augustin Guillot sont allés la rencontrer dans le salon de coiffure où elle exerce depuis ses 15 ans. ©France télévisions

Sacrée à trois reprises lors du championnat du monde de coiffure en septembre dernier, Johanna De La Llave Ferreres est la star de Breuil-Magné (Charente-Maritime). Nous sommes allés à sa rencontre dans le salon de coiffure où elle exerce depuis ses 15 ans.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

A 24 ans, Johanna De La Llave Ferreres s’est démarquée à trois reprises lors du championnat du monde de la coiffure (OMC Hairworld) qui se tenait à Paris en septembre dernier. Face à une quarantaine d’adversaires venus du monde entier, la jeune femme originaire de Charente-Maritime a décroché la première place dans la catégorie chignon de soirée ainsi que deux titres avec l’équipe de France.

C’est valorisant. Je ne m’y attendais pas. Ça fait du bien de se dire qu’on n’a pas fait ça pour rien.

Johanna De La Llave Ferreres

Un travail de rigueur et de patience

Des titres qui viennent récompenser un travail de longue haleine depuis ses débuts en apprentissage il y a neuf ans dans un petit salon de coiffure à Breuil-Magné, près de Rochefort : "Je passe à peu près 15 à 16 heures par jour à faire de la coiffure. Avant d’aller au travail on se lève à six heures on fait des chignons, entre midi et deux et jusqu’à très tard le soir pour créer les coiffures, les couleurs. C’est énormément d’investissement", raconte la Breuillaise.

Un concours qui sert selon elle à revaloriser le travail des coiffeurs et des coiffeuses : "Ça montre aux gens que dans l’artisanat et la coiffure […] on peut […] réussir sans forcément avoir un bac +10" glisse-t-elle en souriant.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité