A Angoulême, les chapiteaux poussent comme des champignons pour le FIBD

La ville d'Angoulême a commencé sa mue de capitale de la Charente à capitale mondiale de la bande dessinée. Accueillir les éditeurs, les auteurs, les journalistes et bien sûr les festivaliers, cela demande quelques infrastructures. Des chapiteaux sont en cours de montage dans la ville.

Lors du festival international de la BD, 10 000 m² de chapiteaux sont nécessaires à travers la ville. Il faut du temps pour monter ces structures, qui ont commencé à pousser au gré des places.


Le Champ de Mars par exemple est désormais couvert du chapiteau le plus imposant du festival : il fait 125 mètres de long, pour une vingtaine de large. Il deviendra du 25 au 28 janvier prochain l’antre des éditeurs.

Jérôme Deboeuf et Christophe Guinot ont suivi Jean-Luc Bittard et son équipe, qui coordonnent la mise  en place de 8 structures en centre-ville.


Pour les structures les plus importantes et les plus compliquées, il faut compter une vingtaine de jours de montage. L'accueil du  public et des exposants est l'un des postes financiers les plus lourds : au total 1,2 millions d’euros, dont 800 à 900 000 euros consacrés aux seules installations.

Un budget qui reste incompressible car aujourd'hui à Angoulême, il n'existe aucun projet de structure en dur pour accueillir les exposants.

 

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