A Angoulême, les passants s'étonnent du peu de gendarmes déployés

Le pays est en état d'urgence et la sécurité est renforcée après les attentats. Mais ce lundi 16 novembre, à Angoulême, le dispositif n'est pas flagrant.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Pas un uniforme à l'horizon. Ce matin du 16 novembre devant la gare d'Angoulême, le dispositif de sécurité n'était pas flagrant. Des voyageurs comparent aux renforts nombreux à la gare de Poitiers ou de Paris. "On sent qu'on est un peu loin de ce qu'il s'est passé", analyse un passager. 

Certains voyageurs ne "voient pas de gendarmes" et se disent "inquiets : à tout moment, ça peut vite partir", pense une jeune femme. Ils espèrent "beaucoup de contrôles" dans "les lieux où il y a de la concentration." Mais d'autres sont confiants. Une autre jeune femme se veut rassurante : "je sais que la ville d'Angoulême est bien gardée : il y a l'armée, des gendarmes, la police".

Retrouvez les différentes réactions, recueillies par Maylis Chauvin et Cécile Landais :

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information