Ce mardi 6 avril, à partir de midi vous devriez pouvoir prendre rendez-vous avec le megacentre de vaccination qui ouvrira ses porte jeudi 8 avril au Parc des Expositions de Bordeaux Lac. Comment s'inscrire, qui peut y prétendre ? Les réponses, ici.
Médecins, infirmiers, pharmaciens, sapeurs-pompiers... Tous sur le pont. Cette fois, l'Agence Régionale de Santé de Nouvelle-Aquitaine, et la Préfecture de la Gironde voient les choses en grand.
Jeudi matin à 8 heures, le hall 1 du parc des expositions de Bordeaux-Lac ouvrira ses portes aux candidats à la vaccination. Objectif : 1500 injections par jour. Ce mégacentre s'installera sur un espace de 3000 mètres carrés, et accueillera le public 7 jours sur 7. Il est accessible aux patients de toute la Nouvelle-Aquitaine nous informe l'Agence Régionale de Santé.
L'ARS qui ne précise par le type de vaccin, proposé.
Nous aurons différents types de vaccins au fil des jours et nous suivrons les recommandations de la Haute Autorité de Santé. AstraZeneca (Rebaptisé Vaxzevria -NDLR), par exemple, est préconisé pour les personnes de 55 ans et plus.
Les patients désireux de se faire vacciner devront au préalable prendre rendez-vous via la plateforme doctolib. Les reservations en ligne peuvent théoriquement se faire à partir de ce mardi à midi. Théoriquement, car dans un premier temps, les réservations n'étaient possibles que pour une deuxième injection. Et en début d'après-midi, ce mardi, aucun créneau n'était disponible
Qui y a droit ?
Dans un premier temps, ce vaccinodrome ne sera ouvert qu'aux personnes prioritaires comme elles ont été définies par la stratégie nationale de vaccination.
Ne seront donc autorisées à prendre rendez-vous pour la piqûre, que les personnes âgées de plus de 70 ans et les personnes de plus de 50 ans, souffrant de comorbidités.
Les volontaires devront se munir de leur carte vitale, et d'une pièce d'identité. A ces documents s'ajoute une attestation médicale pour les personnes de plus de 50 ans éligibles.
Les nombreux médecins présents sur place s'assureront que les personnes sont bien prioritaires et que leur état de santé est compatible avec la vaccination