La ville du basket se reveille dans la stupeur après la disparition tragique de l’un des plus grands joueurs de l'histoire.
Kobe Bryant, quintuple champion de la NBA avec les Los Angeles Lakers, est mort ce dimanche 26 janvier à 41 ans dans un accident d’hélicoptère en Californie. Il était accompagné de huit autres personnes, dont sa fille de 13 ans.
Les réactions à cette disparition sont nombreuses, de Tony Parker à Barack Obama ; elles montrent l'importance que la star du basket avait acquis dans son sport, mais aussi dans la société américaine et dans le monde entier.
A Limoges, on apprécie les Lakers : ils avaient affronté le CSP à Paris en 1991.
Kobe Bryant n'y était pas ; mais depuis, le joueur, par son talent et sa générosité, a séduit tous les amoureux du basket qui sont passés dans la ville.
Certains hommages viennent des Etats Unis, avec d'abord celui du plus limougeaud des joueurs de NBA, Sekou Doumbouya, qui ne trouve pas les mots pour décrire son émotion :
Forcément, le Limoges CSP rend aussi hommage à Kobe Bryant le jour précis où son président emblématique Fred Forte aurait fêté ses 50 ans : "les légendes ne disparaissent jamais".
Heroes come and go, but legends are forever. - Kobe Bryant ? pic.twitter.com/QzBNTQLGFD
— Limoges CSP (@limogescsp) January 26, 2020
Pour l'ancien international Frédéric Weiss, "parfois la vie nous rappelle que l'on est bien peu de chose."
De son côté, le champion de France Adrien Moerman parle lui aussi d'une véritable "légende".
Autre champion de France avec le CSP, l'américain Pooh Jeter s'adresse à Kobe Bryant : "Tu nous as tous inspirés et motivés"
En vidéo, l'ancien meneur cercliste Kenny Hayes rend un vibrant hommage à son héros : "C'est incroyable. Pour moi, c'est le pire jour de l'histoire du sport."
Et toujours sur les réseaux sociaux, certains fans partagent plus simplement leurs réactions :
On a tellement le sentiment qu'ils sont immortels que quand ils partent on n'arrive pas à y croire (Cathy Degorce),
C'est con mais cela fait toujours quelque chose quand un sportif meurt. Peut-être parce qu'ils arrivent à rassembler là où tout le monde veut diviser (Le Fopulaire).