Sur les marches du tribunal correctionnel de Dax, les salariés sont venus en nombre hier lundi 3 janvier, pour assister au premier face à face entre leur avocat et celui de de leurs anciens employeurs. L’enjeu pour eux est de savoir s’il y a eu cession frauduleuse.
Depuis la cession de l’usine Darbo de Sonae à Gramax, les multiples rebondissements entre cession, revente, et atermoiements diverses des directions successives, ont fini par désespérer les salariés. Si ces derniers avaient été licenciés en 2015 par Sonae, ils auraient pu bénéficier d’une prime substantielle dite supra-légale. Leur sentiment est qu’ils se sont tout simplement faits avoir par cette gestion erratique de l'entreprise.
Sur les marches du tribunal correctionnel de Dax, les salariés sont venus en nombre pour assister au premier face à face entre leur avocat et celui de de leurs anciens employeurs. L’enjeu pour eux est de savoir s’il y a eu cession frauduleuse.