Le gouvernement a donné son feu vert aux projets de prolongement de ligne LGV au sud de Bordeaux. Des projets sur lesquels la commission d'enquête publique avait émis un avis négatif. Mais une question demeure : qui va payer la facture de cette LGV ? Un exemple avec la ligne Bordeaux Toulouse.
Au nom du développement local, la chambre de commerce et d'industrie et la communauté d'agglomération de la ville d'Agen est pour cette ligne et une gare entre Bordeaux et Toulouse : Agen.
En revanche, du côté du département du Lot-et-Garonne, il est hors de question de tout sacrifier pour cette au détriment d'autres engagement sociaux et d'éducation notamment...
Regardez le reportage de Jean-Michel Daguenet et Benoît-Pierre Morin :