Les trois anciennes aides-soignantes de la maison de retraite de Fumel ont été reconnues coupables et condamnées ce mercredi à quatre mois de prison, avec sursis.
Les poursuites de harcèlement ont été requalifiées en violences volontaires, sans ITT, sur personnes vulnérables.Les trois anciennes aides-soignantes de la maison de retraite de Fumel ont été reconnues coupables et condamnées à quatre mois de prison, avec sursis.
Elles ont été jugées en début de mois pour avoir, entre septembre 2015 à janvier 2016, proféré des propos dégradants, fait subir des humiliations ou encore fait preuve de manquement en matière de prise en charge sur ces personnes vulnérables, de 86 à 101 ans.