Le basque Pascal Bidégorry et Marc Guillemont seconds de la transat en classe Imoca

Dimanche à 17h 43min 23s (heure française) à Itajaí, au Brésil, Marc Guillemot et Pascal Bidégorry ont franchi la ligne d'arrivée après 17j 04h 43min 23s. Une deuxième place 4h 01min 36s après Vincent Riou et Jean Le Cam.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Marc Guillemot et Pascal Bidégorry (Safran) ont pris la deuxième place de la transat Jacques-Vabre en classe Imoca,  suivis, une demi-heure plus tard par Jérémie Beyou et Christopher Pratt (Maître CoQ). 



Une course intense

Marc Guillemot, skipper de Safran : « Cette Transat Jacques Vabre a été tonique, du départ à l’arrivée. J’ai rarement vu une course aussi intense. Avec Pascal, nous étions à l’attaque tout le temps : il ne m’a pas lâché. C’était une course de bourrins ! Le parcours était long, il ne fallait pas lâcher une seconde, sous peine de sanction immédiate. Nous sommes fatigués car nous n’avons pas beaucoup dormi. Il vaut mieux arriver comme ça, que reposés mais trois jours plus tard. Nous sommes vraiment contents de cette deuxième place. »

Pascal Bidégorry, co-skipper de Safran : « Je me disais que ce serait un peu plus cool en monocoque qu’en multicoque. Mais on n’a pas arrêté ! Nous n’avons pas eu une demi-journée de répit. Nous étions toujours au taquet, à prendre des tonnes d’eau sur le bateau. Les IMOCA sont des sous-marins au reaching : impressionnant. Safran est vraiment costaud. »

Marc Guillemot : « On découvre vraiment l’autre dans une telle course. Quand la fatigue s’accumule, se supporter l’un l’autre n’est pas évident car on a les nerfs hyper sensibles. Imaginez un couple qui ne dort pas pendant une semaine : ça peut faire des étincelles ! Avec Pascal, il y eu quelques hausse de ton mais c’est normal. »

Pascal Bidégorry : « En tout cas, notre duo est bien plus performant qu’il y a 17 jours au départ du Havre. Rien à voir ! »





Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information