C'est tout simplement à Poitiers que l'animateur féru d'histoire nous a donné rendez-vous. De la cathédrale au parc de Blossac en passant par le centre-ville, il nous parle de son Poitou d'adoption.
C'est le noeud papillon le plus célèbre du paysage audiovisuel français. Les habitués de Télématin sur France 2 ou les auditeurs de France Info et de France Bleue ne ratent aucune de ces chroniques historiques. Depuis plus de vingt ans, c'est à Iteuil, à côté de Poitiers, que lui et sa grande famille se sont installés. Alors son petit coin de paradis, il ne fallait pas aller le chercher bien loin.
C'est d'abord à Notre-Dame-la-Grande que nous le retrouvons. Père de six enfants et fervent catholique, il est un habitué de l'église collégiale romane de la ville. "C’est tellement symbolique de l’endroit où nous vivons. Si les gens viennent à Poitiers ou dans le Poitou, c’est pour découvrir aussi l’art roman. Cette église est le symbole de cette période de l’architecture", nous explique le chroniqueur.
Dans les rues pavées du centre-ville, on distingue de loin la silhouette élégante de Frédérick Gersal. "Tiré à quatre épingles", il nous emmène dans l'incontournable boutique de la famille François, fabricants de parapluie. "Frédérick est quelqu’un de très chic. On ne peut pas dire le contraire ! Et il essaye toujours d’assortir toute ces tenues", nous confirme le maître des lieux. "J’adore cette boutique et monsieur François et j’ai autant de parapluie qu’il n’en a ! Je dois en avoir huit ou dix parce qu’il m’en fallait un de chaque couleur. Pour un nœud-papillon jaune, il me fallait un parapluie jaune, et un rouge pour un nœud rouge. C’est important !"
Enfin, c'est dans le parc de Blossac que s'achève la visite de ce petit coin de paradis, un hâvre de verdure et de calme, mais pas d'exercice physique pour Frédérick Gersal : "je suis comme Churchill, "no sport"!"
Visite des lieux préférés de Frédérick Gersal avec Marie-Noëlle Missud et Marine Nadal