Le procès du volleyeur poitevin Earvin Ngapeth renvoyé au 22 février

Le procès de la star du volley français, Earvin Ngapeth, poursuivi en correctionnelle pour l'agression d'un contrôleur SNCF qu'il conteste, a été renvoyé lundi au 22 février 2016 à la demande de son avocat.

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L'avocat du volleyeur poitevin, Me Hugues Bouget, a fait valoir que son client ne pouvait être présent à l'audience en raison d'un déplacement professionnel. Le réceptionneur-attaquant de 24 ans de l'équipe de France doit être jugé pour des faits de violences sur un agent exploitant, outrage et entrave à la circulation d'un train.

La justice lui reproche d'avoir frappé le 21 juillet un contrôleur auquel il aurait demandé de retarder le départ d'un TGV Paris-Bordeaux à la gare Montparnasse pour attendre un ami. "Il est bien évident que je n'ai jamais tabassé qui que ce soit, pas plus que je n'aurais soi-disant pris la grosse tête et aurais demandé à faire arrêter un train pour mon bon plaisir", a démenti le joueur.

"Les déclarations du contrôleur ont été corroborées par des témoins", a affirmé l'avocat de la SNCF, Me François-Régis Calandreau assurant que "les contre-vérités énoncées par le joueur seront démenties à l'audience".

Deux jours avant cette altercation, Earvin Ngapeth avait été élu meilleur joueur du tournoi de la Ligue mondiale au Brésil où l'équipe de France avait remporté le premier titre international de son histoire.
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