A Toulouse, la "chasse" au radar embarqué est ouverte

Alors que la préfecture ne confirme pas si le premier radar embarqué "indétectable" a été mis en service ce vendredi, les automobilistes se déchaînent sur internet pour identifier le véhicule de la police toulousaine.

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C'est un déferlement sur internet ! Alors que l'AFP annonçait jeudi la mise en service ce vendredi 15 mars des radars mobiles nouvelle génération (RMNG) dans huit départements dont la Haute-Garonne, les automobilistes-internautes toulousains se sont déchaînés sur les réseaux sociaux. L'idée, c'est de tenter d'identifier le véhicule de la police nationale et de faire circuler sa plaque d'immatriculation.

De son coté, la préfecture de la Haute-Garonne s'est refusé à confirmer l'information. Il est donc (officiellement) impossible de dire si le véhicule circule actuellement dans l'agglomération toulousaine et s'il est en service ou seulement en période de test. 

Un site internet appelle même les automobilistes à identifier la plaque du véhicule de police (ou de gendarmerie) afin "d'aider les automobilistes à identifier ce dispositif" inédit. 

Embarqué dans une voiture de police ou de gendarmerie banalisée, le dernier-né des radars mobiles se fond dans la circulation et flashe en roulant les automobilistes qui dépassent le véhicule des forces de l'ordre.

Voici une petite sélection des messages postés sur Twitter ce vendredi : 



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