La structure a été officialisée à l'ASPC de Nîmes, par la signature d'une convention mardi matin. Elle doit permettre d'accueillir et de faire émerger les futures pépites du tennis de table.
Afin d'accompagner au mieux la nouvelle génération de sportifs, en vue des JO de 2024, les structures se développent.
Après Nancy, Nantes et Tours, le nouveau pôle national de tennis de table à Nîmes permettra aux jeunes du Sud de s'investir davantage. "Le fait de créer une structure d'entraînement avec des clubs qui ont une culture du haut niveau, pour nous, c'est un gage de conserver le milieu familial proche de l'enfant pour pouvoir s'épanouir et se construire", affirme Christian Palierne, président de fédération française de tennis de table.
Coordonner études et sport de haut niveau
Bérénice a 17 ans et vient des Pyrénées-Orientales. Avec 25 heures d'entraînement par semaine, elle doit jongler entre ses cours et la pratique de son sport.
Grâce à une convention entre son lycée Albert Camus et la Fédération française, elle participera aux championnats de France junior. "On se doit, dans l'éducation nationale, d'accompagner tous ces jeunes, à Camus nous avons plusieurs plusieurs accords clubs et ce pôle tennis de table qui a pris de l'envergure", atteste Hélène Gesquières, proviseur du lycée Albert Camus.
Aujourd'hui, au lycée Albert Camus seuls 3% des élèves suivent une filière sport.
Dès la rentrée 2019, les jeunes pourront poursuivre l'activité tennis de table au sein d'une nouvelle filière universitaire sportive STAPS, à l'université Vauban à Nîmes.
La structure a été officialisée à l'ASPC de Nîmes, par la signature d'une convention mardi matin. Elle doit permettre d'accueillir et de faire émerger les futures pépites du tennis de table.
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