Un forcené retranché dans les Hautes-Pyrénées : le GIGN mène l'assaut

Le GIGN a mené l'assaut dimanche 17 janvier à Horgues dans les Hautes-Pyrénées. Un homme, ancien CRS et potentiellement armé, était retranché chez lui depuis la veille.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Des détonations ont été entendues ce dimanche 17 janvier à Horgues dans les Hautes-Pyrénées. Un assaut a été lancé à 9h30 par le GIGN durant dix minutes. L'objectif était de déloger un forcené retranché chez lui depuis la veille. L'homme, un ancien CRS spécialisé dans le secours en montagne avait quitté ses fonctions il y a trois ans en raison de troubles paranoïaques. Considéré comme instable, récidiviste et potentiellement armé, il présentait un danger pour les autorités.  

Après l'intervention du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale une ambulance et un véhicule du SMUR se sont rapprochés du lieu où s'était enfermé l'individu. Selon les informations de France 3 Occitanie, l'opération s'est bien passée ne faisant aucun blessé.

Les négociations s'étaient engagées la veille, sans succès. Les hommes du GIGN étaient arrivés en renfort dans le courant de l'après-midi du samedi 16 janvier. Tout avait été mis en oeuvre pour que l'homme retranché se rende de lui-même. Apparemment sans succès puisqu'une intervention a eu lieu ce dimanche matin. 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité