Dans un entretien accordé à France 3 Languedoc-Roussillon, le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret, appelle à la plus grande prudence dans l'affaire du bizutage à l'internat d'excellence de Montpellier. Il indique notamment qu'aucune plainte n'a été déposée à ce jour.
Le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret, apporte quelques précisions sur l'avancement de l'enquête sur le sordide bizutage filmé à l'internat d'excellence de Montpellier dans lequel 6 à 7 élèves mineurs sont impliqués.
Les premières auditions n'ont fait état d'aucune contrainte et aucune plainte n'a été déposée", assure le procureur de la République de Montpellier.
Reportage à Montpellier.
Un bizutage qui a mal tourné ?
D'après nos informations, une jeune fille a prêté son téléphone à son petit ami. Quand ce dernier lui a rendu, elle a découvert les images d'un élève apparemment violé à l'aide de crayons de papier ou de stylos. Elle a alors prévenu la proviseure qui elle même a alerté la police. Il s'agirait d'un bizutage qui a mal tourné.