Sorti au cinéma le 18 janvier, le film un sac de billes rencontre un vif succès, plus de 400 000 spectateurs l’ont déjà vu. Le coscénariste Montpelliérain Jonathan Allouche répond à nos questions.
C’est l’histoire de deux jeunes frères juifs livrés à eux-mêmes dans une France occupée. Leurs parents, pour les sauver, les ont laissé s’échapper seuls … L’objectif des deux frères : réunir toute la famille.
Le film un sac de billes est sorti au cinéma depuis le 18 janvier et il rencontre un vif succès, avec plus de 400 000 spectateurs. Adapté pour la deuxième fois au cinéma du célèbre roman biographique de Joseph Joffo. Pour en parler, le coscénariste montpelliérain Jonathan Allouche.
Sorti au cinéma le 18 janvier, le film un sac de billes rencontre un vif succès, plus de 400 000 spectateurs l’ont déjà vu. Le coscénariste Montpelliérain Jonathan Allouche répond à nos questions.
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©France 3 LR
Il y a 20 ans à Montpellier vous rencontrez Joseph Joffo, racontez moi …
J’ai rencontré Joseph, à la comédie du livre au salon des auteurs, et j’avais ce projet depuis toujours d’adapter ce livre au cinéma. Et en le rencontrant j’ai réussi à mener à bien ce projet et à créer ce film, l’adapter pour la seconde fois au cinéma avec les producteurs de Quad production et le réalisateur Christian Duguay.
Comment vous avez réussi à convaincre tout le monde de vous suivre ? Patrick Bruel ? Tous les acteurs ? Et la production ?
L’histoire avait déjà convaincue tout le monde, plus de 20 millions d’exemplaires ont été vendus dans le monde. Le livre a été traduit en 18 langues différentes. Plusieurs générations l’ont étudié en cours, donc l’histoire avait déjà convaincue, il ne manquait plus que les protagonistes et ce sont les enfants qui ont convaincu le reste des acteurs.
Il y a Patrick Bruel, qui avait dit non au début et qui s’est laissé convaincre par les enfants, il a un rôle prépondérant dans le film plus que dans le livre, c’est une volonté de Joseph Joffo, vous en avez parlé avec lui ?
Joseph n’a jamais été satisfait de la première adaptation, l’image de son père avait été écornée et pour lui, on ne retrouvait pas les émotions du livre. Je pense que cette adaptation est complétement adoubée par l’auteur.
Vous avez assisté à la première diffusion avec Joseph Joffo ? C’était comment ?
On se tenait la main et on pleurait …