Au-delà des 283 salariés licenciés, le cas Molex a touché tout un bassin de population. Un drame humain avant tout.
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"Ces gens osaient vous regarder alors qu'ils savaient qu'ils allaient vous mettre à la porte" Jacques Aso - 20 ans à l'usine |
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"On avait un moyen de pression qu'on a pas exploité jusqu'au bout" Patrick Frégolent - 19 ans à l'usine |
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"Le meilleur PSE, c'est de garder son emploi" Jean-Jacques Pellissier - 29 ans à l'usine |
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"Nous avions deux solutions : nous bagarrer pour l'argent ou pour garder notre emploi. On n'a jamais parlé d'argent jusqu'au 15 septembre 2009" Denis Parise - 29 ans à l'usine |
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"J'ai mis du temps à me dire que je n'y rentrerais plus jamais" Colette Soulié - 30 ans à l'usine |
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"Aujourd'hui, Peugeot, c'est le premier client de Molex. Alors, c'était quand même une bonne opération pour eux..." Guy Pavan - 32 ans à l'usine |
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"L'Etat fait ce qu'il peut, Molex fait ce qu'il veut" Jean-Claude Boudet - Maire de Villemur-sur-Tarn |
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"27 ans, ça ne s'oublie pas comme ça" Anne Lacoste - 27 ans à l'usine |
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"Molex est venu pour nous vampiriser" Ali Oudrhiri - 12 ans à l'usine |
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