Le mercredi matin studieux des écoles publiques n'est pas adopté par le privé

La plage, le mercredi matin avec les enfants, vous pouvez oublier. Désormais, c'est direction l'école. Une matinée de travail de plus, pour mieux apprendre, ce sont les nouveaux rythmes scolaires. Une réforme obligatoire dans le secteur public mais pas pour l'enseignement privé. Exemple à Sète.

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Ce mercredi matin, à Sète, c'est cours de français pour cette classe de CM1-CM2. Et les enfants devront s'y faire.
Les 3.146 élèves des écoles publiques commencent un nouveau rythme de travail. Aux parents maintenant de s'adapter. Certains le font avec beaucoup de facilité. Pour d'autres, c'est en revanche un véritable casse tête.

Car les 4 écoles privées sétoises ont choisi de ne pas appliquer les nouveaux rythmes scolaires. C'est leur droit. Les 652 élèves n'ont donc pas cours le mercredi. 82% des parents qui scolarisent leurs enfants dans le privé étaient contre cette réforme et ces établissements ont suivi leur avis, essentiellement pour des raisons budgétaires car les frais de scolarité auraient doublé.

Les parents ont donc dû trouver des solutions car il n'y a qu'une seule garderie pour les 4 écoles privées et plus de centre aéré le mercredi matin. Mais seuls quelques enfants étaient concernés.

La mairie, en revanche, a dû revoir toute son organisation et surtout son budget. Le coût est de 400.000 euros supplémentaires. Elle se donne 3 mois pour prévoir si nécessaire des ajustements.

Reportage F3 LR : D.Aldebert et F.Detranchant

 

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