Les universités de Montpellier, Toulouse 1 Capitole et Toulouse Sabatier 3 conservent leurs places dans le top 300 du classement international de Shanghai des 500 meilleures universités mondiales, publié tous les 15 août depuis 2003.
Statu quo pour les trois meilleures universités de la région, du moins à en croire le classement dressé par l'université Jiao-tong de Shanghai.
L'université de Montpellier et les deux facultés toulousaines maintiennent leurs positions dans le top 300, entre la 201e et la 300e place. Elles figurent donc parmi les 14 meilleures universités françaises.
A noter que l'université Toulouse Capitole 1 se concentre sur les champs des sciences sociales et Sabatier 3 dans les sciences, les technologies et la santé.
L'université de Montpellier est le fruit de la fusion de 2015 entre Montpellier 1, regroupant un panel de disciplines comme le droit ou encore la médecine et Montpellier 2 spécialisée en sciences et techniques.
Un maintien au sommet mondial salué par la présidente de la région Occitanie Carole Delga sur Twitter.
Les établissements universitaires et de recherche d'@occitanie gardent la cote au classement international de Shangaï.
— Carole Delga (@CaroleDelga) 16 août 2018
Bravo à @UT1Capitole @UT3PaulSabatier & @umontpellier qui se maintiennent dans le top 300.
C'est un encouragement à persévérer dans la démarche d'excellence.
L'université de Montpellier classée dans plusieurs domaines
Mais ce n'est pas tout, puisque l'université de Montpellier se classe également dans d'autres domaines.
Le "shanghai ranking" a proposé dès juillet un classement thématique des universités.
L'université de Montpellier se classe en première position de la thématique "écologie" devant la prestigieuse Oxford en Angleterre.
Elle figure également dans le top 150 mondial dans d'autres disciplines comme l'agronomie (43e position), l'eau ou les sciences de la terre (entre la 76e et 100e position).
L’Université de Montpellier, première mondiale en écologie. @vousnousils https://t.co/kZ0WLw8agv pic.twitter.com/wqlVUmdXA1
— CPU (@CPUniversite) 30 juillet 2018
Un classement mondial aux critères flous
Certains membres de la sphère universitaire critiquent vivement les critères d'évaluation du classement de Shanghai qui reposent sur six domaines d'évaluation parmi lesquels le nombre de Prix Nobel et de médaille Fields parmi les diplômés, parmi les professeurs, les chercheurs les plus souvent cités ou encore le nombre de publications dans les revues scientifiques Science et Nature.