Le PSG attend avec impatience de connaître son adversaire. Real Madrid, Milan AC, Celtic Glasgow, ou Arsenal, chacun des joueurs rêve d'une confrontation idéale à ses yeux.
Certains redoutent un affrontement dès ce tour là avec celui qu'ils considèrent comme le plus gros morceau, le Real Madrid bien sûr. D'autres au contraire voudraient en finir tout de suite avec cette menace et rêvent d'une affiche Real / PSG.
Mais bien des joueurs comme des supporters aimeraient rencontrer AC Milan. Tant de choses lient les deux clubs! Carlo Ancelotti, l'entraineur parisien y a gagné quatre fois en Ligue des Champions, autant comme joueur que comme entraîneur. Léonardo, le directeur sportif du PSG y a fini sa carrière de joueur, puis il y a commencé sa carrière d'entraineur. Chez les joueurs, Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva y ont des souvenirs encore très récents. Un face-à-face avec le Milan serait forcément particulier pour les deux joueurs et l'ensemble du club parisien qui a pris un accent italien depuis un an et demi. Même si sans doute, certains préfèreraient éviter un affrontement qui comporterait autant d'affectif!
La perspective de défier le Real fait déjà froid dans le dos. Largement distancé en Liga par le FC Barcelone, le club madrilène va tout miser sur la Ligue des Champions pour sauver sa saison et porter son record de victoires à 10. L'infatigable milieu parisien Blaise Matuidi ne s'y est pas trompé en désignant mercredi le Real comme la formation "à éviter".
Particulièrement déséquilibrée, la confrontation entre Parisiens et Madrilènes aurait toutefois une petite saveur au vu des spéculations sur l'avenir de José Mourinho et de la superstar Cristiano Ronaldo, annoncés comme de possibles renforts dans la capitale la saison prochaine.
Bien sûr il y a cinq autres configurations possibles, qui ont toutes leur particularité et leur saveur propre. Dans le chapeau, figure aussi Arsenal, un habitué de la Ligue des Champions; FC Valence, Celtic Glasgow, les Ecossais sont très en forme cette saison; les Turcs du Galatasaray, impatients de monter ce qu'ils savent faire, ou encore les Ukrainiens de Shakhtar Donetsk, que l'on connaît peu pour l'instant, mais que les dirigeants du PSG considèrent comme redoutables