Paris Quartiers d’Eté : nos cinq coups de coeur du mois d'août

Jusqu’au 15 août prochain, Paris Quartier d’Eté continuera de vous proposer des spectacles en tout genre et dans toute la capitale. Pour vous, nous en avons fait une petite sélection.

Du canal de l’Ourcq aux Tuileries et du Palais Royal aux squares d’Aubervilliers, pour la 24ème édition de Paris Quartier d’Eté les programmateurs n’ont pas manqué d’ambition. Le pari est gagné : mixité, croisement des cultures, croisements des esprits.

Musique, danse, théâtre et cirque : il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges. 40% des spectacles sont gratuits. Des petits squares de la banlieue parisienne aux grands musées de la capitale, le festival continue de se déployer jusqu’au 15 août, pour le plaisir des franciliens.

Ces prochains jours au festival Paris Quartiers d’Eté :

Danse et Théâtre Musical
Via Sophiatown (par Via Katlehong Dance)

Revoici l’Afrique du Sud. Sans pathos, sans colère, avec la vitalité époustouflante d’un pays tout jeune, qui se sert de la musique et de la danse pour raconter ses histoires, la troupe des Via Katlehong Dance raconte ici l’histoire du mythique quartier de Sophiatown. Jusqu’au 3 août (plus d'informations ici)



Performance
Religieuse à la fraise (par Kaori Ito et Olivier Martin-Salvan)

Que nous promet-on avec cette mystérieuse Religieuse à la fraise ? Pour l’heure, on sait seulement qu’elle se dégustera à l’air libre et qu’elle aura pour protagonistes deux artistes que leurs cultures et leurs physiques opposent et que leur intrépide curiosité réunit. Jusqu’au 9 août (plus d'informations ici)




Spectacle musical / Concert
Indus Bandits (par Fantazio)

On l’a vu contrebassiste et chanteur réaliste, bateleur et globe-trotter amoureux d’éléphants. Aujourd’hui, voici Fantazio parti et revenu des Indes, entraînant dans son sillage un duo tamoul et quelques renégats, pour une nouvelle épopée musicale et palpitante. Jusqu’au 8 août (plus d'informations ici)




Spectacle aérien
Aranéide (par Myriam Gourfink)

Dans une toile tissée à cinq mètres du sol, la chorégraphe Myriam Gourfink place la trapéziste Clémence Coconnier, le temps d’un voyage dans les zones les moins éclairées de la conscience. Un spectacle à suivre sur le fil. Jusqu’au 2 août (plus d'informations ici)



Danse contemporaine
Dancing Grandmothers (par Eun-Me Ahn)

Paris avait découvert l’année dernière la chorégraphe Eun-Me Ahn. Elle revient cet été avec un spectacle pas moins dingue, fondé sur l’énergie inusable des grands-mères coréennes. Un voyage dans le temps qui se transforme en transe collective. Du 6 au 9 août (plus d'informations ici)