L'équipe de hanball du PSG remporte le deuxième titre de son exercice 2015, après le Trophée des Champions. Les Parisiens ont réussi ce dimanche à conserver la Coupe de France en battant Nantes 32 à 26, dans un stade Pierre de Coubertin comble et comblé.
Le PSG Handball, solidaire et solide mentalement, a répondu au défi physique imposé par Nantes (32-26) en finale pour conserver la Coupe de France messieurs de handball, dimanche au stade Pierre-de-Coubertin à Paris.
C'est le quatrième titre national remporté par le PSG depuis son rachat en 2012 par le fonds d'investissement Qatar Sports Investments (QSI), après celui de champion de France en 2013, la Coupe de France 2014 et le Trophée des champions 2015.
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— PSG Handball (@psghand) April 26, 2015
Rock Feliho a donné le ton d'un match très rugueux avec un gros "bouchon" d'entrée sur William Accambray. Mais le PSG n'a pas rechigné non plus au combat dans une partie d'une intensité folle. Après un début de match à l'avantage de Nantes, qui a trouvé plusieurs fois Igor Anic au pivot (7-5, 10e), grâce en particulier à un Alberto Entrerrios excellent à la passe, le PSG a inversé la tendance. Les Parisiens ont encore haussé leur agressivité défensive. Ceci, conjugué au réveil de Thierry Omeyer dans ses cages, leur a permis de rester douze minutes sans encaisser le moindre but entre la 13e et la 25e minute. Avec cette étanchéité défensive, le PSG s'est arrimé solidement en tête (12-9, 22e), Mikkel Hansen continuant sur sa dynamique de ces dernières semaines, pendant que Nantes souffrait de ses pertes de balle.
La situation des Nantais a empiré après un début de seconde période animé par le Parisien Jeffrey Mtima, excellent sur son aile gauche (15-19, 36e). Mais ils n'ont pas craqué, en continuant à trouver des solutions au pivot (19-20, 42e). Discret jusque-là, Valero Rivera a même brièvement replacé Nantes devant (23-22, 46e). Mais Mtima, en feu et toujours impeccablement servi par Hansen, a permis au PSG de repartir de l'avant avec un 3-0 en quatre minutes (27-24, 54e). Nantes ne s'est plus remis de cet éclat, Omeyer repoussant ses dernières tentatives désespérées pour revenir.