A travers le portait croisé de deux des figures de la Résistance qui entrent aujourd'hui au Panthéon, retour sur l'histoire pour comprendre pourquoi certains noms sont restés et pourquoi d'autres ont été comme oubliés jusqu'alors.
L'ethnologue Germaine Tillion sera là pour représenter " l'égalité entre les hommes et les femmes, entre les cultures, entre les peuples", Pierre Brossolette, le journaliste, "c'est la liberté" de celui qui se suicida sans avoir parlé après deux jours de torture par la SS. Ces deux figures de la Résistance ont été choisis pour porter des valeurs symboliques de la République, du moins des valeurs que la République veut aujourd'hui, mettre en avant.
Mais revenons aussi, à travers ces mises en avant, sur les raisons qui font que quand on choisit de se souvenir, certains noms sont sélectionnés, d'autres restent dans l'ombre.
Pierre Brossolette/Germaine Tillion, portrait croisé