Affaire des corticoïdes au Racing 92 : imbroglio autour de la décision de la Fédération

Le quotidien L'Equipe affirme que Dan Carter a reçu la notification de la décision de la Fédération française de rugby, dans l'affaire des corticoïdes retrouvées dans ses urines, lors de la finale du dernier Top 14. Problème : le Racing 92 indique que ses joueurs n'ont pas encore reçu la décision.

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Dan Carter "ne sera pas inquiété", dans l'affaire des corticoïdes retrouvées dans ses urines, le soir de la finale du dernier Top 14, en juin 2016, à Barcelone, face à Toulon. C'est ce qu'affirme le quotidien L'Equipe, qui précise que le joueur néo-zélandais "a reçu la notification de la décision samedi". "Ses partenaires Juan Imhoff et Joe Rokocoko devraient vraisemblablement connaître le même sort", ajoute le quotidien sportif.
Des informations démenties par le Racing 92. "Contrairement aux affirmations publiées ce matin (...), aucune notification de la commission médicale de la FFR n’est encore parvenue ni au club ni chez les joueurs entendus par ladite commission", indique le club des Hauts-de-Seine. 

Usage médical des corticoïdes

Les trois joueurs ont été entendus mercredi par la commission médicale de la Fédération française de rugby, qui doit se prononcer sur l'éventuel usage médical de corticoïdes par ces joueurs. Anti-inflammatoires, anti-douleur, anti-allergiques, les corticoïdes sont interdits en compétition sans autorisation d'usage thérapeutique (AUT) lorsqu'ils sont utilisés par voie systémique (orale, intraveineuse, intramusculaire ou rectale). Ils sont toutefois autorisés par voie locale : articulaire, tendineuse, épidurale, cutanée et inhalée).

Il y a dix jours, après la révélation de l'affaire, le Racing 92 avait assuré qu'il s'agissait "de traitements administrés par voie autorisée, prodigués en réponse à des pathologies avérées, plusieurs jours avant la finale du Top 14 et ne nécessitant pas d'AUT".

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