Les cinq salariés d'Air France placés en garde à vue lundi dans le cadre de l'enquête sur les violences du 5 octobre ont été déférés mardi devant un magistrat du parquet et pourraient être jugés prochainement, a annoncé le parquet de Bobigny.
"Ils sont actuellement présentés à un magistrat du parquet, qui va leur notifier leur convocation pour être jugés, dans un délai court de 10 jours à deux mois", a déclaré cette source à l'AFP, précisant que la qualification de "violences aggravées" -les faits ayant été commis en réunion- avait été retenue.