Des applications et des sites proposent au visiteur de redécouvrir la capitale, et les vestiges de la libération de Paris. Visite, et explications...
On passe devant sans la regarder. Il suffirait pourtant de lever le nez, et de prendre le temps de s'arrêter. La plaque a été déposée en 1945 par les camarades de Gustave Pommier, un résistant capturé dans cette rue par des Allemands le 21 août 1944, alors qu'il combattait pour libérer Paris.
Des applications et des sites proposent au visiteur de redécouvrir la capitale, et les vestiges de la libération de Paris. Visite, et explications...
Intervenants : Gilles Primout (auteur du blog "La libération de Paris"), Gino Appert (créateur du site "Brèves d'histoire")
► La libération de Paris
Des lieux d'histoire qu'on ne voit pas
Dans la capitale, on trouve partout des vestiges des combats des jours qui ont marqué la libération de Paris. Comme ces éclats de mitraille place de l'Odéon, ou bien ce trou d'obus sur l'un des murs de l'Hôtel-Dieu.Les fusillades du 25 août 1944 sont quant à elles figées dans la pierre du 60, boulevard Saint-Michel, à l'endroit même où s'élève l'Ecole des mines de Paris.
Ces histoires sont collectées sur le site internet Brèves d'histoire, histoire de ne plus passer devant ces lieux sans les voir, et de pourquoi pas, donner envie de s'arrêter devant ces lieux de mémoire.
► Brèves d'histoire