Palmier nie toute implication dans le 1er meurtre

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Yoni Palmier nie "toute participation" dans le premier des quatre meurtres perpétrés dans l'Essonne depuis novembre 2011 avec la même arme, qui lui a valu une nouvelle mise en examen vendredi, a affirmé son avocat ce samedi.

 "Mon client a nié toute participation et a indiqué qu'il ne connaissait ni la victime ni Michel Courtois", déjà détenu pour cet homicide, a dit Me Laurent Servillat. "Cette mise en examen ne signifie pas qu'il soit accusé d'avoir commis ces faits comme je viens de le lire chez plusieurs de vos confrères. Elle va par contre nous permettre d'accéder également à ce dossier et aux résultats d'investigations en cours", a-t-il ajouté.

Yoni Palmier, 33 ans, a été mis en examen vendredi soir pour assassinat dans le cadre de l'information judiciaire pour le meurtre de Nathalie Davids, 35 ans, perpétré le 27 novembre 2011 dans le parking de son immeuble de Juvisy-sur-Orge.

Pour ce crime, Michel Courtois, l'ex-compagnon de la victime, est détenu depuis décembre 2011 à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis. Il avait avoué les faits à la fin de sa garde à vue, avant de se rétracter. Palmier était déjà mis en examen pour assassinats dans le cadre d'une information judiciaire distincte qui porte sur les trois autres meurtres : ceux de Jean-Yves Bonnerue, 52 ans (le 22 février à Juvisy-sur-Orge), de Marcel Brunetto, 81 ans (le 17 mars à Ris-Orangis) et de Nadjia Boudjemia-Lahcene, 48 ans (le 5 avril à Grigny).

Il nie également avoir commis ces crimes. L'enquête a déterminé que la même arme avait été utilisée pour ces quatre homicides, commis dans une zone d'un rayon d'une dizaine de kilomètres : un pistolet semi-automatique de 7,65 mm saisi lors des perquisitions qui ont suivi l'interpellation de Yoni Palmier le 14 avril. Aucune indication n'a été donnée sur les motivations du suspect pour ces quatre meurtres, pour lesquels aucun lien évident n'a été établi, mis à part la proximité géographique.

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