Le ministre délégué à l'Agroalimentaire Guillaume Garot a assuré jeudi que l'Etat "répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur du pôle frais du groupe Doux.
L'EtatL'Etat "répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur de Doux (Garot)
précise au 2e paragraphe que l'interview a eu lieu sur RTL
PARIS, 9 août 2012 (AFP) -
Le ministre délégué à l'Agroalimentaire Guillaume Garot a assuré jeudi que l'Etat
"répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur du pôle frais du groupe Doux,
placé en liquidation, et pour lequel le tribunal de Quimper a fixé à vendredi la
date-butoir pour le dépôt d'une offre.
"L'Etat répondra présent, avec les collectivités locales d'ailleurs, mais sur
la base d'un projet industriel clair, (...) d'avenir, pour moderniser la filière
(...) mais aussi sur la base d'un projet avec un vrai volet social", a déclaré
M. Garot sur RTL.
Le tribunal a mis en liquidation judiciaire le 1er août le secteur "frais" (abattage,
découpe et conditionnement de la volaille vendue en rayons frais), historiquement
déficitaire, du volailler finistérien, mettant sur la sellette 1.704 emplois. Les
juges ont accordé un délai, jusqu'au 10 août, pour de nouvelles offres de reprise.
Aucune offre n'avait été déposée mercredi, mais plusieurs noms circulent. Si aucun
repreneur ne se manifeste et sauf rebondissement, le tribunal a fixé au 10 septembre
la fin de la période d'activité.
"Nous nous battons depuis des semaines pour que demain (vendredi), il puisse y
avoir des offres, de telle sorte qu'on sauve un maximum d'emplois. C'est ça l'enjeu
de la journée qui nous attend", a souligné M. Garot.
"Chacun aujourd'hui est face à ses responsabilités et je veux croire que chacun
les prendra. En tout cas, vous savez que le gouvernement depuis le début sur ce
dossier a pris ses responsabilités autour d'une ligne simple: peser pour qu'émerge
la meilleure solution, à la fois pour l'emploi et pour l'avenir de la filière avicole",
a-t-il ajouté.
Pour les autres activités de Doux (export et produits élaborés),
le tribunal a prolongé la période d'observation jusqu'au 30 novembre.
zap/but/bfa
AFP le 09/08/2012 07:04:17L'Etat "répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur de Doux (Garot)
"L'Etat répondra présent, avec les collectivités locales d'ailleurs, mais sur la base d'un projet industriel clair, (...) d'avenir, pour moderniser la filière (...) mais aussi sur la base d'un projet avec un vrai volet social", a déclaré Guillaume Garot sur RTL.
Le tribunal a mis en liquidation judiciaire le 1er août le secteur "frais" (abattage, découpe et conditionnement de la volaille vendue en rayons frais), historiquement déficitaire, du volailler finistérien, mettant sur la sellette 1.704 emplois. Les juges ont accordé un délai, jusqu'au 10 août, pour de nouvelles offres de reprise.
Aucune offre n'avait été déposée mercredi, mais plusieurs noms circulent. Si aucun repreneur ne se manifeste et sauf rebondissement, le tribunal a fixé au 10 septembre la fin de la période d'activité.
"Nous nous battons depuis des semaines pour que demain (vendredi), il puisse y avoir des offres, de telle sorte qu'on sauve un maximum d'emplois. C'est ça l'enjeu de la journée qui nous attend", a souligné Guillaume Garot.
"Chacun aujourd'hui est face à ses responsabilités et je veux croire que chacun les prendra. En tout cas, vous savez que le gouvernement depuis le début sur ce dossier a pris ses responsabilités autour d'une ligne simple: peser pour qu'émerge la meilleure solution, à la fois pour l'emploi et pour l'avenir de la filière avicole", a-t-il ajouté.
Pour les autres activités de Doux (export et produits élaborés), le tribunal a prolongé la période d'observation jusqu'au 30 novembre.
Avec les CDD, plus de 4.000 personnes sont employées chez Doux qui fait travailler quelque 800 éleveurs. Deux mille personnes sont employées par des sociétés de transport travaillant pour le groupe, sans compter les nombreux emplois chez les fournisseurs et la sous-traitance. A Laval, l'usine Doux emploie 270 salariés.
AFP le 09/08/2012 07:04:17 "répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur de Doux (Garot)
précise au 2e paragraphe que l'interview a eu lieu sur RTL
PARIS, 9 août 2012 (AFP) -
Le ministre délégué à l'Agroalimentaire Guillaume Garot a assuré jeudi que l'Etat
"répondra présent" à côté d'un éventuel repreneur du pôle frais du groupe Doux,
placé en liquidation, et pour lequel le tribunal de Quimper a fixé à vendredi la
date-butoir pour le dépôt d'une offre.
"L'Etat répondra présent, avec les collectivités locales d'ailleurs, mais sur
la base d'un projet industriel clair, (...) d'avenir, pour moderniser la filière
(...) mais aussi sur la base d'un projet avec un vrai volet social", a déclaré
M. Garot sur RTL.
Le tribunal a mis en liquidation judiciaire le 1er août le secteur "frais" (abattage,
découpe et conditionnement de la volaille vendue en rayons frais), historiquement
déficitaire, du volailler finistérien, mettant sur la sellette 1.704 emplois. Les
juges ont accordé un délai, jusqu'au 10 août, pour de nouvelles offres de reprise.
Aucune offre n'avait été déposée mercredi, mais plusieurs noms circulent. Si aucun
repreneur ne se manifeste et sauf rebondissement, le tribunal a fixé au 10 septembre
la fin de la période d'activité.
"Nous nous battons depuis des semaines pour que demain (vendredi), il puisse y
avoir des offres, de telle sorte qu'on sauve un maximum d'emplois. C'est ça l'enjeu
de la journée qui nous attend", a souligné M. Garot.
"Chacun aujourd'hui est face à ses responsabilités et je veux croire que chacun
les prendra. En tout cas, vous savez que le gouvernement depuis le début sur ce
dossier a pris ses responsabilités autour d'une ligne simple: peser pour qu'émerge
la meilleure solution, à la fois pour l'emploi et pour l'avenir de la filière avicole",
a-t-il ajouté.
Pour les autres activités de Doux (export et produits élaborés),
le tribunal a prolongé la période d'observation jusqu'au 30 novembre.
zap/but/bfa
AFP le 09/08/2012 07:04:17