Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition de Léa Petitgas, l'Erdre a été sondée mardi 19 juin par la brigade fluviale de la Préfecture de police de Paris à l'aide d'un sonar de haute technologie. Les recherches doivent se poursuivre toute la semaine.
Dans le cadre de l'enquête autour de la disparition inquiétante de Léa Petitgas, un sonar appartenant à la brigade fluviale de Paris a sondé l'Erdre mardi 19 juin. Cet appareil permet de procéder à des recherches aquatiques. Il fonctionne sur le principe de l'échographie. Les prospections n'ont pour l'instant rien donné. Elles doivent se poursuivre jusqu' en fin de semaine sur le tracé entre le domicile et le travail de la jeune femme.
Léa Petitgas, âgée de 20 ans n'a pas donné signe de vie depuis le 13 décembre 2017. Dès le lendemain son téphone portable a cessé d'émettre. Aucune transaction depuis n'a été enregistrée sur son compte bancaire.
Ses proches excluent une disparion volontaire. depuis six mois de nombreuses investigations ont été menées, mais les enquêteurs n'ont à ce jour dégager aucune piste sérieuse.
"C'est une affaire qui nous semble très inquiétante car Léa a disparu du jour au lendemain, sans donner de nouvelles", a déclaré Phillipe Guichard, patron de l'Office central pour la répression des violences aux personnes à nos confrères du parisien. L'OCRPV a été co-saisi dans ce dossier avec la police judiciare de nantes.
" Il y a une brusque coupure qui ne s'explique pas : plus d'activité téléphonique, plus de connexion sur les réseaux sociaux. Et surtout, il n'y a aucun témoin. Les Investigations menées dans son environnement n'ont pas permis d'avancer sur une piste plutôt qu'une autre, la disparition volontaire ou la mauvaise", a ajouté l'enquêteur.