Signe d’une prise de conscience collective, de plus en plus de consommateurs poussent la porte des magasins de seconde main. Et pourquoi-pas réparer soi-même les objets tombés en panne.
Recycleries, ressourceries, on en trouve aujourd’hui dans toutes les villes, comme un signe d’une prise de conscience de nos modes de consommation. Refusant l’obsolescence programmée, les consommateurs choisissent parfois de réparer ou de faire réparer des objets du quotidien plutôt que de les jeter à la benne.
Se servir de trois objets définitivement hors-service pour en fabriquer un nouveau ! C’est le pari d’une entreprise d’insertion d’Angers.
Choix écologique mais aussi financier, la seconde main semble avoir de beaux jours devant elle.
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