Une nouvelle fois, face aux plaignantes et devant les parties civiles, le fondateur de la société varoise PIP a "demandé pardon".
Jean-Claude Mas, a "demandé pardon" aux victimes de la tromperie, vendredi devant le tribunal correctionnel de Marseille qui juge l'affaire des implants mammaires frauduleux.
Le fondateur de la société varoise PIP s'est de nouveau exprimé devant le tribunal correctionnel de Marseille qui juge l'affaire des implants mammaires frauduleux
"Je demande pardon aux patientes pour la tromperie faite par PIP et j'espère que la conclusion des débats sera de nature à les conforter", a-t-il déclaré, après que le tribunal a achevé d'examiner le fond du dossier.
Plus de 6000 parties civiles ont été enregistrées dans ce dossier. Depuis hier s'expriment à la barre les femmes qui avaient fait appel à la société PIP pour une reconstruction mammaire.