Parmi les principaux points noirs des Alpes maritimes en terme de circulation : Sophia Antipolis. Chaque jour, 30 milles véhicules entrent et sortent de la première technopole d’Europe.
L’autoroute n’est pas le seul axe susceptible d’être saturé. Chaque jour à Sophia Antipolis, d’immenses bouchons.
Soucieux de l’attractivité de leur territoire, les chefs d’entreprises se battent pour relever le défi de la mobilité.
Télétravail, covoiturage, toutes les solutions sont bonnes pour faire la chasse à l’«autosolisme ».
Il y a aussi les transports en commun, mais aujourd’hui ils se résument à des bus pleins à craquer et bloqués dans la circulation.
Alors quelles solutions pour sortir de l’enfer des bouchons et maintenir la compétitivité de la technopole ?
La communauté d’agglomération a opté pour le bus tram.
5 km en site propre, 11 stations, un bus toutes les 6 minutes aux heures de pointe.
A Sophia Antipolis, une révolution a déjà commencé, c’est celle du vélo à assistance électrique.