C'est pour cela qu'on retrouve sur le siteaussi bien l'Unviversité Nice-Sophia Antipolis ou les laboratoires de l'Ecole de Mines, que des entreprises internationales comme Amadeus ou Air France.L'idée était de créer un brassage de gens de cultures différentes pour que le contact entre ces cultures provoque de la créativité, selon Pierre Laffitte.
L'idée était également de créer une autre source de dynamisme dans la région, presque uniquement dépendante du tourisme. Selon l'ex-sénateur, une crise du tourisme pouvait provoquer "30 à 40% de chômage". Idéalement située, proche de la frontière italienne et sous le soleil azuréen, la technopole avait tout pour réussir. C'est aujourd'hui chose faite à un détail près. Le créateur du pôle a en effet un seul regret : la place de la culture à Sophia Antipolis n'est pas assez grande à son goût.