Les sinistrés grassois veulent la démolition de leur immeuble.

Cinq jours après l'effondrement de la façade de leur immeuble à Grasse, les habitants ne peuvent retourner chez eux que quelques heures par jour. La mairie a pris un arrêté de péril, beaucoup de veulent pas que l'immeuble soit reconstruit.

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Le 19 novembre dernier, la façade d'un immeuble en rénovation s'est effondré en plein coeur de la vieille ville de Grasse.
56 personnes qui vivaient  dans les appartements mitoyens ont été temporairement relogés dans un hôtel par la mairie, qui a pris un arrêté de péril.  Certains attendent de regagner un logement auquel ils n'ont accès que quelques heures par jour, et sous escorte policière. D'autres sont inquiets.

En dessous, il y a beaucoup de caves, il y a une rivière qui coule, c'est très humide, il y a beaucoup de salpêtre, refaire les fondations là-dessus, je ne sais pas si ça vaut le coup


déclare Patricia Sannino.
Déjà, il y a deux semaines, un bâtiment s'était effondré à proximité du chantier de la médiathèque. Faut-il stopper les travaux, c'est l'avis de Paul Euzière, conseiller municipal d'opposition. Ce n'est pas ce que pense  la municipalité. Une bataille d'expertises est en cours, pour déterminer ce qui pourrait être à l'origine de ces effondrements.

REPORTAGE
INTERVENANTS: Christophe Moure, riverain, Patricia Sannino, Linda Raybaud, Paul Euzière, conseiller municipal d'opposition, Philippe Westrelin, 1er adjoint au maire de Grasse (Les Républicains)

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