Emmanuel Macron l'a annoncé : les communes feront ce qu'elles voudront de la semaine de 4 jours pour les écoliers. La réforme des rythmes scolaires avait été mise en place dans la douleur. Et de nouveau c'est un casse-tête qui divise.
Rentrée 2017 : surprise ou pas ?
Les TAP, autrement dit les Temps d'Animation Périscolaires ont été un casse-tête pour beaucoup de communes... et surtout à Marseille en 2014...Cette réforme emblématique du quinquennat Hollande subsisterait à la rentrée 2017.
Mais un "texte ad hoc" serait très vite publié pour "laisser aux communes, en lien étroit avec les écoles de leur territoire, le soin d'organiser le temps périscolaire sans contrainte", selon le programme du président élu.
Concrètement, les communes pourront donc décider de repasser à la semaine de quatre jours, de maintenir ou supprimer les activités périscolaires, financées en partie par l'Etat seulement jusqu'en 2019 (sauf pour les communes les plus pauvres).
Le reportage de Frédéric Renard et Alban Poitevin à Marseille et Bouc-Bel-Air, en interview le maire de la ville de Bouc-Bel-Air, Richard Mallié, et Thibault Daures directeur du service des affaires scolaires
Education : des changements en vue dès la rentrée ! Si le programme Macron est appliqué, les communes pourront choisir si les rythmes scolaires sont maintenus ou pas.
L'éclairage de Valérie Smadja :
intervention de Valérie Smadja en plateau lors du 12/13 du mardi 23 mai 2017 à propos du rythme scolaire