Le Conseil constitutionnel a censuré mardi la loi punissant la contestation du génocide arménien en 1915.
Le Conseil a jugé qu'en réprimant la contestation de l'existence et de la qualification juridique de crimes qu'il aurait lui-même reconnus et qualifiés comme tels, le législateur a porté une atteinte inconstitutionnelle à l'exercice de la liberté d'expression et de communication.
Julien Harounyan, président Conseil Coordination des organisations
arméniennes de France - région Marseille-Provence réagit :
"c'est la défaite de la France des valeurs"
La réaction de Valérie Boyer