Les réactions sont nombreuses ce lundi suite à l'agression d'un enseignant juif à Marseille. En tête le monde politique. Ainsi Manuel Valls s'est dit "révulsé" via son compte Twitter. Selon le procureur de la République : l'auteur a revendiqué agir "au nom d'Allah" et du groupe Etat islamique.
Le Premier ministre Manuel Valls s'est dit lundi "révulsé" par l'agression antisémite commise par un adolescent contre un enseignant juif à Marseille.
L'agression antisémite d'un professeur à Marseille nous révulse. Intransigeance face à ceux qui s'en prennent à notre unité républicaine.
— Manuel Valls (@manuelvalls) 11 Janvier 2016
Tout mon soutien à l'enseignant victime d'une odieuse agression antisémite à Marseille.
— Najat Belkacem (@najatvb) 11 Janvier 2016
Soutien à la victime de l'intolérable agression antisémite de ce matin à Marseille
— Patrick Mennucci (@patrickmennucci) 11 Janvier 2016
La folie de notre société incarnée par un ado de 16 ans qui attaque un professeur portant une kippa. Marseille c'est l'accueil, pas ça!
— Christophe Castaner (@CCastaner) 11 Janvier 2016
Agression antisémite à #Marseille: 20 ans de règne de @jcgaudin, et l'antisémitisme se développe comme jamais dans notre ville.
— Stéphane Ravier (@Stephane_Ravier) 11 Janvier 2016
Agression d'un professeur à #Marseille : Tout mon soutien à la victime. L'antisémitisme n'a pas sa place dans la République.
— Jean-Chr. Cambadélis (@jccambadelis) 11 Janvier 2016
Acte antisémite à #Marseille : encore un déséquilibré ? Cessons de contourner le problème et traitons le mal à la racine. #antisémitisme
— Valérie Boyer ن (@valerieboyer13) 11 Janvier 2016
Soutien à la victime de la révoltante agression antisémite de #Marseille. Enquête en cours sous l'autorité de la Justice.
— Bernard Cazeneuve (@BCazeneuve) 11 Janvier 2016
Agression antisémite à Marseille: le président du Crif "atterré" et "très choqué" :
"Nous sommes très choqués par cette agression", qui a laissé l'enseignant légèrement blessé au dos et à une main, a déclaré à l'AFP M. Cukierman, en notant que l'homme avait agi "en reconnaissant qu'il était inspiré par les jihadistes". "On est atterrés de voir qu'il y a tant d'actes de cette nature gravissime", a-t-il ajouté.