Revue de presse : Routiers, dockers, cheminots et policiers dans la rue aujourd’hui

Au sommaire de cette revue de presse : Les opposants à la loi travail ne désarment pas. En plus des routiers, des cheminots, des dockers et des salariés d’aéroports, les policiers dénoncent une haine "anti-flic" .

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L’Humanité revient ce matin sur la journée de mobilisation d’hier (mardi 17 mai) qui a été marquée par des débordements notamment à Paris, Nantes, Rennes et Lyon où un policier a été grièvement blessé, selon le ministère.
"Une police au bord de la crise", stigmatisée et devenue la cible de casseurs organisés selon La Croix qui se demande ce que les forces de l’ordre peuvent bien faire face à cette violence.

La réponse à La Croix est en "Une" de quasiment toute la presse "la police en a marre, elle  interpelle l’opinion" lance Le Figaro qui dénonce la haine "anti-flic" qui s’installe en France à tous les coins de rues.
Et pour se faire entendre, pour 20 Minutes, elle a décidé de manifester aussi ! À l’appel de certains syndicats, les forces de l’ordre ont rendez-vous ce mercredi pour battre le pavé ensemble place de la République !

"Mais si les français vous aiment"  C’est dit en "Une" d’Aujourd’hui en France. Sondage à l’appui ils sont 82% à vous apprécier, ce qui fait quand même huit français sur 10 , et ils sont 91% à comprendre votre ras le bol.
"Allez souriez-vous êtes filmés" ironise Libération qui revient sur ces vidéos qui ont fait le buz, montrant certains policiers, frapper sans vergogne sur des jeunes manifestants, « des forces de l’ordre pas si mal traitées » selon le quotidien.

Quoi qu’il se passe dans la rue "Je ne cèderai pas" sur le projet de loi travail, a déclaré hier, François Hollande, chez nos confrères d’Europe 1, et repris ce matin dans Les Echos. Il assure que ce texte était le fruit d'un "compromis", d'un "équilibre". "Cette loi va passer" a-t-il assuré. Aucun doute l’exécutif ne semble pas s’inquiéter.

Et pendant ce temps là, à qui profite le crime ? A Nicolas qui s’y voit déjà selon Le Monde. Nicolas Sarkozy préférant prendre de la hauteur en se penchant sur une nouvelle  Europe dès l’été 2017 ! La campagne est bel et bien lancée !


A lire aussi dans la presse régionale

"Séisme à répétition : pas de quoi trembler" titre La Charente Libre. Trois semaines après un premier séisme, la Charente-Maritime a de nouveau été secouée hier (mardi 17 mai) par un petit tremblement de terre. Les scientifiques se veulent rassurants. Il était 6h50 ce mardi matin, précise France 3 Poitou-Charente, quand la terre a tremblé une nouvelle fois en Charente-Maritime. Un séisme évalué à 3.7 sur l'échelle de Richter et dont l'épicentre était situé à proximité de la ville de Saintes. La secousse a été ressentie jusqu'en Charente et dans une partie des Deux-Sèvres.
Jusque-là aucun dégât n'a été constaté et ce nouveau tremblement de terre qui n'est pas une réplique du séisme du 28 avril, lorsqu'une secousse de magnitude 4,9 avait déjà frappé la Charente-Maritime. L'épicentre était alors situé quelque part entre La Rochelle et Rochefort. Il s'agirait cette fois "d'un nouveau séisme et non d'une réplique", explique Eric Chaumillon, qui est spécialiste de géologie marine à l'Université de La Rochelle.

"Les salariés d’Allia sont sous le choc" lance L’Est Eclair, après qu’ils aient appris avec stupéfaction la fermeture de leur usine de Villeneuve-au-Chêne, dans l’Aube (Champagne-Ardenne). Les élus locaux leur ont apporté leur soutien souligne le quotidien qui précise  "qu’un long combat commence".
Le site de Digoin, en Saône-et-Loire, entre pour sa part dans une procédure de consultation de son personnel, selon France 3 Bourgogne, afin d'identifier ses "options stratégiques" dans le marché difficile de la construction.
Allia, qui fabrique notamment des baignoires et des lavabos, fait partie des marques que Geberit a reprises avec l'acquisition l'an passé du finlandais Sanitec.
Le groupe, qui avait jusqu'à présent toujours privilégié la croissance de ses propres marques, avait rompu avec ses habitudes en procédant au rachat de cette entreprise, avec pour objectif d'élargir sa palette de produits, mais aussi de se renforcer sur de nouveaux marchés.
Le marché des produits en céramique pour salle de bains a été confronté à de nombreuses difficultés depuis plusieurs années, entre les surcapacités de production et la pression sur les coûts face à un déclin de la demande, a expliqué le groupe suisse.
Allia s'est donc retrouvé contraint d'"examiner ses options stratégiques" pour ces sites, a-t-il précisé, tout en ajoutant qu'il entendait en "minimiser les conséquences sociales".

"Biarritz : tous les regards vers les bleus" titre fièrement Sud-Ouest. Les footballeurs de l’équipe de France sont arrivés hier au Pays basque pour leur stage de préparation. Les fans étaient présents au rendez-vous, de l’aéroport à l’hôtel, bien sûr ! Et les bleus auraient cherché à se cacher de leurs supporters selon France 3 Aquitaine. Pas de photo, pas même un regard. L'équipe de France de football en stage pour quelques jours à Biarritz a choisi la discrétion. Seules quelques images de leur descente de l'avion puis de leur entrée dans le bus ont été saisies de très loin.
Une discrétion mal vécue par des supporters qui étaient venus accueillir leurs idoles, mais qu’à cela ne tienne, les fans pourront toujours se rendre au stade Aguilera, siège des rugbymen du Biarritz Olympique, dès aujourd’hui pour 4 séances d’entrainement.
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