Entre grosses histoires de drogue et mauvaises relations de village, le réalisateur toulousain Eric Valette achève dans le Tarn, à Rabastens et Salvagnac, le tournage de son prochain long-métrage "Le serpent au mille coupures", adaptation du polar de Doa.
Après "Maléfique", "Une affaire d'Etat" et "La Proie", le réalisateur d'origine toulousaine Eric Valette achève deux semaines de tournage dans le Tarn d'une adaptation du polar "Le serpent au mille coupures" de l'écrivain Doa.
Il s'agit d'une intrigue au croisement de grosses histoires de drogue et de mauvaises relations de village sur toile de fond de vignoble de Gaillac, où le sang coule.
Environ 70 personnes de la région ont été embauchées pour être figurants dans le film dont une importante partie de l'intrigue se joue au Café des Sports de Rabastens. Des techniciens de la région ont également été employés pour ce long-métrage soutenu par la région Midi-Pyrénées.
Le film devrait sortir sur les écrans l'été prochain.
En vidéo, le reportage de Corinne Carrière et de Christelle Sivatte :