Les experts sont venus constater les dégats et préparer le chiffrage des pertes après l'incendie de l'église de Turenne. Pour la muncipalité, l'enjeu est de taille. Si les sommes remboursées par les assureurs sont trop faibles, la commune, seule, ne pourra financer les travaux de remise en état.
La sacristie ? Partie en fumée. Les objets liturgiques précieux ? Détruits par les flammes. Après l'incendie qui a ravagé l'église de Turenne, des experts viennent estimer les dégâts. La mairie espère que le coût de reconstruction sera proche des montants versés par les assurances.
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Pour une estimation fiancière des dégâts, il est encore trop tôt, il s'agit pour le moment de dresser l'inventaire des pertes et des destructions. Ensuite les assurances feront une proposition d'indemnisation. Pour la future mairie, l'affaire est importante. Car il faut que cette valeur de remboursement colle au plus près au coût réel de reconstruction.
Pour les municipalités qui gèrent des patrimoines historiques importants, l'argent est toujours compté. Après un sinistre, ou tout simplement pour rénover ou entretenir un patrimoine, souvent les finances de la seule commune ne suffisent pas. Il faut alors faire appel aux subventions, au mécénat ou à des partenariats privés.