En déplacement à Laval ce mardi 25 avril, le président de la République a estimé que, pour le second tour de la présidentielle, "l'enjeu, c'est que le Front national soit le plus faible possible".
François Hollande a également souligné que "ce n'est pas la même chose pour un pays de savoir que l'extrême droite est à 20, 30 ou 40 %".
"Je pense qu'il convient d'être extrêmement sérieux et mobilisé, de penser que rien n'est fait parce qu'un vote ça se mérite, ça se conquiert, ça se justifie, ça se porte", a aussi averti le chef de l'État dans un aparté avec la presse, lors de son déplacement à Laval.