Revue de presse : l’UMP face aux soupçons de surfacturation de « l’affaire Copé »

A la une de vos  journaux : l’affaire Copé qui embarrasse son parti avant les municipales, les tensions internes toujours très fortes en Ukraine, et les pistes envisagées par le Sénat de fortement augmenter les prix du tabac et des sodas.

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L’affaire Copé  fait des vagues aujourd’hui dans la presse, après les révélations du Point qui a publié une enquête fouillée sur les relations du patron de l’UMP avec la société Bygmalion gérée par des proches, qui aurait « ruiné »  le parti avant qu’il soit obligé de faire la quête auprès de ses sympathisants.
Libération qui évoque "un silence de plomb à l’UMP" (article payant) explique que les révélations du Point « n’ont  pas surpris à droite »  mais que personne « ne veut jeter de l’huile sur le feu avant les municipales. »
Le Figaro  explique lui aussi que ces accusations ne datent pas d’hier de la part des adversaires de Jean-François Copé qui  « nie en bloc » et a décidé de porter plainte contre l’hebdomadaire et ses journalistes.

Le Figaro  qui consacre sa une à l’Ukraine et les risques de déchirement entre l’Ouest, pro  européen  et l’Est pro russe où la Crimée a voté la tenue d’un référendum pour une autonomie élargie.
La Croix explique que la Crimée conteste ainsi dangereusement le nouveau pouvoir de Kiev a peine installé dans un dangereux "face à face de deux Ukraine."

Le Parisien/ Aujourd’hui en France se demande de son côté si on a « vraiment une chance au  grattage ». La question se pose après les révélations de l’ancien PDG de la Française des jeux qui explique que l’égalité des chances promise par l’opérateur n’a jamais existé.

De l’argent il vous en vous faudra pourtant si vous avez l’idée de boire un soda en fumant une petite cigarette. Car le paquet selon  Aujourd’hui en France  devrait atteindre les 11 euros dans les 5 ans. C’est l’idée des sénateurs qui veulent ainsi lutter efficacement  contre le tabac et ses méfaits.
Contre l’obésité, nous dit Le Figaro, les mêmes sénateurs préconiseraient  de quadrupler la TVA sur les  sodas. 

A lire aussi dans la presse régionale


Le Dauphiné Libéré  comme Aujourd'hui en France ont rencontré l’ex-policier municipal interpellé puis mis hors de cause dans le cadre de l’enquête sur la tuerie de Chevaline. Dans une vidéo il raconte « une arrestation musclée », il a même pensé sur le moment qu’il était braqué par des malfaiteurs. Après 96 heures de garde à vue, Eric  évoque « un coup de tonnerre » qui a « broyé sa famille ». Il raconte ainsi que «sa femme et son fils de 13 ans  ont vécu terré pendant 4 jours, volets fermés, pour échapper aux journalistes, aux curieux. ». Retrouvez également son témoignage sur le site de France 3 Alpes.

Le retour du « donnant-donnant/ gagnant-gagnant » ? La Charente Libre nous apprend que Ségolène Royal en visite au Salon de l’agriculture a proposé d’allouer une aide de 500 euros par mois aux agriculteurs en difficultés. En contrepartie ils devront réaliser des travaux d’intérêt général comme la plantation de haies. La présidente de la région Poitou-Charentes a également fait sensation dans les allées du Salon en aidant un agriculteur a se relever alors qu’il était tombé à terre. La scène est a découvrir sur le site de France 3 Ile-de-France dont les caméras étaient là au bon moment !

Le titre choc de Corse-Matin qui annonce que « le président de Veolia veut liquider la SNCM ». Antoine Frérot préconise le dépôt de bilan pour la société maritime qu’il juge « non viable. ». La direction de la Société a pour sa part estimé « extrêmement préjudiciable »  la position du président du groupe. Un article complet de  France 3  Provence-Alpes explique que cette prise de position est directement liée aux lourds remboursements exigés par la justice européenne.

Après « l’amour est dans le pré », voici le speed dating à la ferme. Le Maine Libre et Ouest France font part de l’initiative d’une agricultrice de La Grande Malpogère (Maine) qui invite les célibataires à se retrouver chez elle, le temps d’une rencontre de 7 minutes...ou plus, si affinité.

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