Le leader des "Jeunesses nationalistes" interpellé, avec 56 personnes, pour avoir appelé à participer à une manifestation illégale. L'élu de la région a été exclu du F.N. fin 2011.
Crânes rasés et saluts nazis sur le parvis de Notre-Dame-de-Paris. Une manifestation d'extrême droite non-autorisée par la préfecture de police s'est tenue malgré cette interdiction et a aboutit à une série d'arrestations.
57 personnes ont été interpellées et quatre militants ont été placés en garde-à-vue. Parmi eux, Alexandre Gabriac, fondateur des "Jeunesses nationalistes" et élu isérois au conseil régional de Rhône-Alpes.
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Le mouvement des "Jeunesses Nationalistes" a été lancé en octobre 2011 par Alexandre Gabriac, exclu du FN en avril, après la diffusion de photos le montrant le bras tendu devant un drapeau à croix gammée.
Ce groupuscule a dénoncé dans un communiqué une "répression" qui "montre non pas la force mais la faiblesse d'un régime aux abois" alors que les manifestants souhaitaient "exprimer leur révolte la plus légitime face au racisme anti-blancs".
A Lyon, une manifestation de ce mouvement prévue le 23 juin avait également été interdite, mais 200 militants s'étaient rendus sur le lieu de rassemblement et 58 personnes avaient été interpellées.