Le niveau de pollution aux particules issues principalement des systèmes de chauffage et du trafic routier se poursuit. Une pollution qui pourrait perdurer jusqu'au vendredi 1er mars.
Depuis le 26 février au soir, l'Auvergne est touchée par un épisode de pollution atmosphérique par les particules en suspension. La raison principale : des conditions anticycloniques qui favorisent l'accumulation de ce polluant issu principalement des systèmes de chauffage et du trafic routier. Sont concernés par cette pollution de l'air les départements de l'Allier, du Puy-de-Dôme (secteur Riom/Clermont-Ferrand/Issoire) et de la Haute-Loire. Le 27 février, en début de soirée, les derniers relevés de cette pollution atmosphérique étaient supérieurs au seuil d'information de la population fixé à 50 microgrammes par mètre cube. Autrement dit, l'indice atmosphérique est mauvais sur les 3 départements concernés, un indice qui atteint sur une échelle de 10 (très mauvais) le niveau 8.
La situation actuelle devrait persister au moins jusqu'au vendredi 1er mars.