Du 9 au 11 mai, les évêques de France accompagnés par des milliers de chrétiens concluront à Lourdes la démarche Diaconia 2013, 3 années de réflexion sur la transformation sociale de notre pays, pour en faire une société plus juste et plus fraternelle.
En annonçant sa renonciation le 11 février, le Pape Benoit XVI a ouvert un printemps très perturbé pour l’église catholique. Même si la renonciation est prévue par le code de droit canonique, c’est un évènement très rare, et l’élection du Pape François, le premier pape non européen depuis le 8ème siècle a été une autre surprise. Désormais, et c’est une première, deux papes cohabitent au Vatican.
Successeur de Benoit XVI, le Pape François a déjà montré que les questions de société le préoccupent et qu’il s’agit de thèmes sur lesquels il souhaite affirmer la voix de l’Eglise.
Depuis le 13 mars, ses prises de position montrent un intérêt pour les questions sociales : soutien aux grands-mères de la Place de Mai en Argentine, appel aux dirigeants politiques à relancer le marché du travail et à lutter contre le chômage, dénonciation du travail d’esclave…
Les invités :
Henri Deveaux, président des Semaines Sociales Clermont Auvergne, un groupe de réflexion qui invité notamment les chrétiens « à mettre les mains dans le cambouis politique »
Jean-Charles Perron, secrétaire général adjoint de la CFTC de l’Allier
Luc Piochon, accompagnateur fédéral de la Jeunesse Ouvrière chrétienne, un mouvement de 10 000 garçons et filles de milieux populaires âgés de 15 à 30 ans qui discutent, réfléchissent et agissent ensemble « pour changer ce qui ne va pas autour d'eux »
Marc-Alexis Roquejoffre, rédacteur en chef de RCF Puy-de-Dôme
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