Malgré la décision rendue, hier lundi, par la Cour d'appel de Grenoble, multipliant par dix le montant de l'astreinte imposée depuis 2008 à Thierry Hermann pour le contraindre à remettre en état l'ancien relais de poste, ce dernier ne veut rien changer.
La justice a pris acte du fait que le propriétaire de la demeure du chaos n'avait entamé aucune démarche de remise en état, malgré la décision de 2008, les juges ont décidé en conséquence de faire passer l'astreinte journalière de 75 à 750 euros. Thierry Hermann, qui dénonce un acharnement judiciaire à son encontre, a annoncé son intention de se pourvoir en cassation.
Reportage : V.Benais / C.Cherry-Pellat / E.Vial pour France 3 Rhône-Alpes