25 ans qu'on promet le TGV aux Auvergnats pour finalement leur dire qu'il ne sera une priorité qu'en 2035 ! C'est en tout cas ce que préconise la commission "Mobilité 21". Sur cette photo interactive, les dernières informations et réactions des hommes politiques de la région.
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Quant à Serge Godard, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, il ressent déjà "la reprise des affaires", ce qui lui fait dire que "sans doute la ligne Paris-Lyon sera saturée beaucoup plus vite que ce qu'on nous annonce".
Promis pour 1993, le TGV n'est pas annoncé, désormais, dans les gares auvergnates avant 2030 au minimum. Il faut dire qu'au-delà de l'intérêt immédiat que ce projet de LGV pourait représenter à l'échelle nationale, c'est aussi le coût qui a peut-être poussé les commissaires emmenés par le député Philippe Duron a ne pas déclarer le POCL comme une priorité. Estimé à 14 milliards d'euros, le Paris-Orléans-Clermont-Lyon était un des projets les plus chers parmi les 70 qui sont inscrits au Schéma National des Infrastructures de Transport.