Le compagnon légendaire de Jean-Jacques Goldman s'est produit ce samedi 3 août à Voingt, un petit village de 51 habitants situé dans le Puy-de-Dôme, dans le cadre de la deuxième édition du Festi'Voingt. L'événement a réuni plus de 1500 personnes.
Il n'y a pas que les grandes villes qui peuvent se permettre d'inviter des vedettes. La preuve, après avoir réussi la première édition de son festival l'an passé, le comité des fêtes de Voingt a décidé de réitérer l'événement. Et pour cette deuxième édition, Cédric Fraisse et Jean-Philippe Thomas (NDLR : les organisateurs du festival) ont vu grand ! Parmi les invités : Benjamin Bocconi, ou encore Manurey - deux artistes révélés au grand public par l'émission "The Voice" - mais aussi et surtout l'illustre Michael Jones, qui n'a pas hésité à faire le déplacement dans les Combrailles le temps d'une soirée.
En temps normal, Voingt est un petit village comptant 51 âmes. L'an dernier, ils étaient près de 300 spectateurs pour assister à la première édition, mais cette année ils étaient plus de 1500 selon les organisateurs. Benjamin Bocconi et Michael Jones n'y sont sûrement pas pour rien, puisqu'à partir de minuit beaucoup de spectateurs ont quitté le champ, afin de rejoindre leur domicile.
Pour les années à venir, le comité des fêtes de Voingt souhaite que le festival se pérénnise et gagne en notoriété. Comme les organisateurs aiment le rappeler : "Les Vieilles Charrues, à Carhaix, ça a commencé comme ça". Espérons pour Festi'Voingt le même succès que le festival breton.
Michael Jones, la guest-star, et le parrain de l'édition 2013 de Festi Voingt
Dans l'après-midi de samedi, nous avions rencontré Michael Jones qui nous a expliqué pourquoi il avait accepté de venir en concert dans un tout petit village auvergnat. Selon le chanteur-guitariste, c'est avant tout pour "l'odeur de la fête".
Vers 23h, les milliers de spectateurs réunis à Voingt ont chanté avec Michael Jones quelques morceaux à succès de l'époque Goldman : "Puisque tu pars", "On n'a pas changé" et évidemment, une fois et encore : "Je te donne".