Les charges qui pèsent sur Cécile Bourgeon avaient été alourdies le 26 janvier 2015 en retenant contre elle un passage à l’acte « en réunion ». Ces avocats ont demandé la nullité de cette qualification aggravante.
Par cet acte, Gilles-Jean et Renaud Portejoie qui assurent sa défense espèrent dégager leur cliente d’une circonstance aggravante alourdissant la qualification de « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ce qui va conduire la chambre de l'instruction de la cour d’appel de Riom à préciser quels seraient les actes et agissements qui sont reprochés à Cécile Bourgeon explique Maître Renaud Portejoie : "si elle annule cette mise en examen supplétive, la même qualification lui serait appliquée qu’à Berkane Makhlouf (son compagnon à l’époque), et dans ce cas il ne peut y avoir qu’un seul coupable, deux personnes ne pouvant être condamnées pour les mêmes faits".